Chute et renaisssance spirituelles

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Steiner, Rudolf
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Prix / Kg:
ISBN : 2-88189-151-9
Nbre de pages :
280
N° de GA
220
Traduction :
Choisnel, Vincent
Reliure :
Relié
Format :
12 x 18
Communication :
Conférences
Édition année :
2000
Auteur(s) :
Steiner, Rudolf
Langue originale :
Allemand

Première conférence, Dornach, 5 janvier 1923

Rapport de l'humanité d'autrefois au Christ en tant qu'être solaire. Jusqu'au IVe siècle ap. J.C. expérience de son « image rémanente » dans le Soleil cosmique. Julien l'Apostat. Emancipation de l'âme par rapport au corps éthérique; début de la « nécessité ardente du Christ ». Les siècles de transition jusqu'à Copernic, Galilée, Kepler. Concentration des forces de connaissance dans l'âme elle-même; apparition de l'image du monde mathématique des sciences naturelles; la possibilité de trouver dans son intériorité le Christ vivant, l'entité qui est le support du moi.

Deuxième conférence, 6 janvier 1923

Misère et possibilités cognitives cachées dans la jeunesse universitaire actuelle. Résultat de l'étude des sciences naturelles: une «oppression cognitive»; de l'étude des sciences de l'esprit: une «asphyxie psychique»; expériences qui pourraient déclencher la nostalgie et la faculté d'un discernement spirituel réel. De la possibilité de faire son devoir à l'égard de l'avenir de l'humanité en s'investissant individuellement pour le mouvement anthroposophique. Nécessité de cultiver la vie spirituelle et psychique dans laquelle l'ancienne et la nouvelle génération peuvent se rencontrer avec sérieux, compréhension et dynamisme.

Troisième conférence, 7 janvier 1923

Les états de conscience et leur rapport avec les constituants essentiels. Direction horizontale des perceptions et des représentations (conscience de jour). Actions des métaux montant des profondeurs de la terre et direction du sentiment dans l'homme (conscience de rêve; imagination). Actions descendant des astres et la direction de la volonté dans l'homme (conscience endormie; inspiration). Formes maladives de perceptions élargies. Connaissance de soi; connaissance du coeur. La véritable connaissance de l'homme en fonction du "corps ", de la « base vitale psychique » et du « fait vivifiant de l'esprit ». Pressentiments dans le Wilhelm Meister de Goethe.

Quatrième conférence, 12 janvier 1923

J.Bôhme, G.Bruno et F.Bacon représentants de l'époque de transition entre anciennes traditions de sagesse et matérialisme. Intervention encore consciente du Mal suprasensible, de la magie et des connaissances intérieures chez certains personnages caractéristiques du Moyen Age (Merlin, Faust) et chez les derniers mystiques. Début du matérialisme et controverse sur la communion. Lutte pour une nouvelle connaissance du monde et de l'homme: vie préterrestre, vie actuelle et vie après la mort. Insuffisance des forces cognitives chez Bôhme, Bruno et Bacon.

Cinquième conférence, 13 janvier 1923

Réalité des processus vivants du sel, du sulfure et du mercure par rapport aux abstractions des sciences naturelles. Processus «sel» dans la nutrition et la vie des sens: reconstitution des pensées des mondes dans le corps éthérique. Clairvoyance ancienne. Le processus «sulfure»: intervention de l'astral dans l'élément aérien. La volonté. Compensation dans le processus "mercure". Böhme, Bruno, Bacon. Remplacement de l'ancien ressenti intérieur des pensées universelles par une aperception spirituelle du monde extérieur librement acquise.

Sixième conférence, 14 janvier 1923

Nécessité de consolider intérieurement la Société anthroposophique. L'homme aliéné de son entité spirituelle depuis le IVe siècle ap. J.C.; destruction de la civilisation hellénistique. Inversion des rapports entre l'être psycho-spirituel et l'être physique et éthérique dans la veille et le sommeil. Le sommeil de la civilisation. Anthroposophie comme signal d'un nouveau réveil dans le monde.

Septième conférence, 19 janvier 1923

Vérité, beauté, bonté. Le sentiment d'être dans le corps physique et la véracité; corrélation avec l'existence préterrestre. Enracinement de l'homme dans le corps éthérique grâce à l'expérience du beau; le Grec et la beauté; relations de l'élément terrestre présent avec le spirituel dans l'apparence. Saisie vivante du corps astral par la bonté: la faculté de ressentir intérieurement l'être de l'autre; point de départ de la moralité; liens avec le monde d'après la mort.

Huitième conférence, 20 janvier 1923

L'expérience vécue de la spiritualité de la nature, sa perte à notre époque. Les entités élémentaires tuteurs et éducateurs des forces cognitives de l'homme; leur retrait au fur et à mesure du développement de la liberté. « Compréhension du langage de la nature », acte de reconnaissance envers les esprits de la nature (exemple: le poisson, l'oiseau). Conséquences d'une telle vision du monde pour la vie de la Société anthroposophique. Le sens des faits, le sens de la beauté et la bonté comme points de départ d'une communauté anthroposophique.

Neuvième conférence, 21 janvier 1923

Chute due au péché et conscience du péché. Corrélation entre la chute morale et la chute intellectuelle; apparition des «limites de la connaissance».Relèvement spirituel hors du péché par une saisie libre et énergique du penser. L'élargissement de la connaissance au plan cosmique, chemin de la compréhension du Christ. Au sujet de l'humilité et de l'orgueil. Danger du sectarisme.

Dixième conférence, 26 janvier 1923

La dégénérescence de l'actuelle civilisation de la conscience sous l'influence du penser médiéval; forces vivantes plus profondes de l'élément préterrestre dans l'homme. Perte de la préexistence et développement de la science tournée vers le sensible. Elargissement nécessaire du goethéanisme à la métamorphose de la forme humaine (crâne). Révélation de l'élément préterrestre dans la beauté pour les Grecs. Compréhension de la chute et christologie renouvelée. Anthroposophie comme substance de vie pour l'évolution de l'humanité.

Onzième conférence, 27 janvier 1923

Origine scolastique de la vie de l'esprit actuelle. Le réalisme, aboutissement de l'ancienne conception vivante de l'esprit; le nominalisme, point de départ de l'intellectualisme moderne: perte du principe du Père dans la vision de la nature: possibilité de l'athéisme; perte de la trinité. Recherche d'une compréhension du Christ. Connaissance du Christ accomplissant l'oeuvre du Père à travers l'éveil du destin durant la vie terrestre. Le nouveau réalisme de l'anthroposophie

Douzième conférence, 28 janvier 1923

L'homme du présent et le fardeau de l'histoire; Herman Grimm, Friedrich Nietzsche. Incapacité d'être créateur dans la vie de l'univers. Impulsions morales et amorales, germes d'un ordre naturel futur. La nature actuelle, effet d'impulsions morales du passé. Intrusion inconsciente de la science de la nature dans l'être moral (le Mal moral) des forces naturelles (la lumière, l'électricité). Renouveau de la civilisation sur les fondements de la nature humaine (Plongée dans l'esprit de la langue; l'eurythmie).

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