Bases (les) occultes de la Bhagavad Gita

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Steiner, Rudolf
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Remise
Prix / Kg:
ISBN : 2-88189-175-6
Nbre de pages :
218
N° de GA
146
Traduction :
Ronceret, Sophie - Jenni, Jean-Marie
Reliure :
Relié
Format :
12 x 18
Communication :
Conférences
Édition année :
2003
Auteur(s) :
Steiner, Rudolf
Langue originale :
Allemand
Momentanément indisponible

PREMIÈRE CONFÉRENCE Helsinki, le 28 mai 1913

La découverte de la Bhagavad Gita et sa signification aux temps modernes. Ce qu'en dit Wilhelm von Humboldt. Le point de départ de la Bhagavad Gita : le combat fratricide. Le recul d'Arjuna devant son implication dans le monde terrestre du combat. Une image opposée : la mort de Socrate, annonciateur de l'immortalité de l'âme. Arjuna, représentant de l'ancienne âme tribale et Krishna porteur de l'expérience du moi individuel.

DEUXIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 29 mai 1913

Composition artistique de tous les anciens documents occultes. Bouleversement psychique, point de départ de toute expérience occulte. Elargissement de l'intérêt, condition de base de toute formation spirituelle. Développement spirituel d'Arjuna reposant sur ces prémisses. Pensée en concepts généraux, acquisition de l'époque de la Bhagavad Gita. Idées et concepts, germes de la clairvoyance. Enseignement de Krishna : refus de la foi en les Véda et recherche sur le chemin du Yoga. Sentiment de solitude et premier pas vers la connaissance suprasensible.

TROISIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 30 mai 1913

Rapport entre les représentations oniriques et les faits de la vie de veille. Expériences spirituelles lors des rêves suite aux exercices de la science spirituelle. Victoire sur les antipathies et les sympathies usuelles comme condition à l'expérience spirituelle. Exemples des difficultés à s'en déshabituer. L'acquisition d'une nouvelle attitude par rapport à son propre destin. Indispensable renforcement de la conscience de soi pour parvenir aux mondes supérieurs. Le reflets de ces réalités lors de la rencontre entre Arjuna et Krishna.


QUATRIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 31 mai 1913

Derniers restes des forces de clairvoyance chez les hommes de l'époque de la Bhagavad Gita. Le sentiment de l'absurde devant le seul monde physique en tant qu'impulsion de la recherche spirituelle. L'acquisition des connaissances supérieures par l'expérience consciente des contenus ordinairement inaccessibles du domaine du sommeil profond. Le reconnaissance de la nécessité du mal dans le monde. La révolte de la critique publique devant les révélations émanant de la région du sommeil. L'exemple des deux enfants Jésus. Les paroles de Krishna en tant que révélations issues de cette région spirituelle du sommeil.

CINQUIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 1er juin1913.

L'insuffisance de toute définition. Caractérisation du déroulement cyclique des processus de construction et de déconstruction dans le système nerveux entre le sommeil et la veille. Hélène Keller, exemple de résistance héréditaire contre les forces destructives organiques. Loi du déroulement cyclique de l'histoire : alternance entre périodes préparatoires et périodes d'accomplissement. Formation d'un nouvel organe dans le cerveau humain entre les 14ème et 19ème siècles et début de la pensée spirituelle de l'époque présente. Conception wilsonienne de l'Etat. Préparation de la conscience de soi par Krishna à l'époque des castes et du culte des aïeux. Prise de conscience de ce processus par Arjuna.

SIXIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 2 juin 1913

Une erreur de la science abstraite : l'interprétation des anciennes révélations religieuses en tant que systèmes philosophiques. Rencontre entre Arjuna et Krishna, dispensateur de la conscience de soi. Intensification artistique de la Bhagavad Gita jusqu'à son neuvième chant : la compréhension de l'éternel par l'Imagination acquise par l'approfondissement du Yoga. Importance de l'impulsion de Krishna pour l'individu, de celle du Christ pour l'humanité.

SEPTIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 3 juin 1913

Incapacité de l'être humain à reconnaître ses forces cognitives. Action de la force destructrice lors de la veille et de la force constructive lors du sommeil. Particularité de ces forces en l'homme : parenté avec le " moins que rien ". Le sommeil des forces de génération chez l'enfant innocent et leur action avilissante animale à leur réveil dans l'adolescent. Conservation de ces forces créatrices humaines devant les influences lucifériennes dans l'âme soeur d'Adam. Le devenir humain de cette âme dans l'enfant Jésus de Luc. Sa jonction avec l'âme de Zarathoustra dans l'autre enfant Jésus à l'âge de la puberté. L'action de l'âme d'Adam dans l'impulsion de Krishna. Découverte de ces faits par le regard occulte et non par des constructions rationnelles.


HUITIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 4 juin 1913

La Bhagavad Gita, issue du sentiment dans l'ancienne Inde. L'incompréhension de son message profond. Les efforts de renouvellement de l'ancienne sagesse indienne par la philosophie sankhya, le Vedanda et par Sankarâchârya. Parenté des contenus de ces courants spirituels et des philosophies de Soloviev, Fichte et Hegel. Le sentiment dans la Bhagavad Gita exprimé par les concepts sattva, rajas et tamas. La nature vivante de ces concepts et leur application à divers domaines de la vie.


NEUVIÈME CONFÉRENCE Helsinki, le 5 juin 1913

Les applications différentes des concepts sattva, rajas et tamas à l'époque de la Bhagavad Gita et à notre époque. La libération des trois états d'âme comme tâche d'Arjuna. L'impulsion de Krishna pour l'autonomie et le perfectionnement de l'âme humaine. Synthèse entre l'impulsion luciférienne et l'impulsion de Krishna-Jésus dans celle du Christ. Erreur répandue dans la Société théosophique quant à la réincarnation physique du Christ et l'effort de vérité en tant que tâche de l'anthroposophie.

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